L’animal marsupial le plus connu d’Australie
Le koala est endémique du pays et représente l’un des mammifères les plus emblématiques. Il est reconnu pour sa douceur et sa nature paisible. Cet animal est très sociable et on le voit souvent s’allonger dans les arbres, circuler sur le sol et se nourrir de feuilles.
D’où vient le nom « koala » ?
Le terme « koala » est reconnu pour désigner un animal australien, mais sa source linguistique et sa signification sont très différentes. En réalité, le mot « koala » vient de la langue Gunai-Kurnai parlée par les Aborigènes dans le sud-est de l’Australie. Il signifie « ne boit pas », et est donné à cet animal car il consomme très peu d’eau et se nourrit principalement de feuilles d’eucalyptus.
Origine de l’expression Koala
Le mot Koala est un terme d’origine aborigène d’Australie, plus précisément un terme gabrieli, qui se traduit littéralement par «ne boit pas». Il est aussi connu sous d’autres noms tels que «ours sans boire» ou «ours à boire». Les Aborigènes ont donné ce surnom au koala car ils ont constaté que ce dernier ne consommait pas beaucoup d’eau, privilégiant plutôt son alimentation pour s’hydrater.
Une taille modeste
Le koala est un marsupial qui peut mesurer entre 60 et 85 cm de longueur (de la tête à la queue). La partie postérieure de son corps peut représenter la moitié de sa taille. On peut observer différentes nuances de couleur sur son pelage, allant du gris clair au brun foncé.
Un régime alimentaire spécifique
Son alimentation est principalement composée de feuilles d’eucalyptus, même si elle peut parfois être variée par des espèces d’arbres différents. Le système digestif du koala est capable de digérer les feuilles sèches et peu nutritives de ces arbres. Ils peuvent ingérer jusqu’à 500 grammes de ces feuilles par jour.
Conclusion
Les koalas, qui vivent en Australie, sont considérés comme une espèce protégée par la loi. Les principales menaces qui pèsent sur leur survie sont la chaleur, le feu, les mouches et les maladies. Les koalas sont très sensibles à l’environnement et à la pollution, ce qui en fait une espèce vulnérable. La préservation des habitats naturels est essentielle pour la protection de cette espèce et de la biodiversité.
